Nos livres biographiques
Chaque vie mérite d’être racontée. Parmi les centaines d’histoires que nous avons eu le privilège de recueillir, voici une sélection de 24 livres — autant de voix singulières, de récits forts, de témoignages sincères. Chaque couverture, chaque mot, chaque silence porte en lui une mémoire à transmettre. Nous avons choisi de les regrouper selon quatre grandes thématiques, car si les parcours sont uniques, les émotions qu’ils éveillent, elles, sont universelles.
Bien évidemment, les prénoms et certains éléments des histoires ont été modifiés pour préserver l’intimité de nos narrateurs.
Biographies de seniors – La mémoire en partage
Ce sont des récits de transmission. Des souvenirs d’enfance, des amours de jeunesse, des maisons pleines de voix, de rires et parfois de silences. Ces livres sont des passerelles entre les générations : ils racontent une époque, des valeurs, une façon de voir le monde.
Et surtout, ils disent combien le simple fait de raconter peut être un acte d’amour.
« Ce livre est un voyage sensible et profondément humain dans les souvenirs d’un homme de 90 ans, qui choisit de transmettre… »
« Le livre de notre vie est bien plus qu’un simple récit autobiographique. C’est une lettre ouverte du cœur, écrite à deux mains… »
« Nos grands-parents ont payé cher leur attachement à la liberté. Ce livre retrace, à travers l’histoire bouleversante de Valentina… »
« Dans ce récit, l’autrice retrace avec émotion et humour l’épopée familiale d’une lignée de femmes courageuses… »
Ce livre est un voyage sensible et profondément humain dans les souvenirs d’un homme de 90 ans, qui choisit de transmettre à ses proches un pan essentiel de leur histoire familiale… et de celle des hommes.
Né dans les Aurès, en Algérie, il nous raconte, avec une écriture précise et sensorielle, la vie dans le village de Menâa. Ce témoignage n’a rien de nostalgique ; il se veut un pont entre les cultures. l’auteur refuse les caricatures sur l’Algérie coloniale et nous livre une version plus nuancée, où deux peuples « s’entrevivaient » plutôt que de s’affronter. Il met en lumière les solidarités, les liens discrets mais puissants, qui unissaient Chaouis et Européens dans une époque rude.
Dans une langue simple mais habitée, il redonne une voix à une culture orale — le berbère — et une place à un territoire oublié. Ce livre est un legs, une mémoire vivante, un acte d’amour envers une terre, un peuple, et un mode de vie en voie de disparition.
« Le livre de notre vie est bien plus qu’un simple récit autobiographique. »
C’est une lettre ouverte du cœur, écrite à deux mains, à l’attention de ceux qui ont compté dans leur vie. En retraçant leur parcours, ils rendent un hommage appuyé à leurs proches, à leurs enfants, à leurs petites-filles, mais aussi à ces amis fidèles qui les ont accompagnés depuis l’adolescence jusqu’à l’âge adulte.
Des souvenirs d’enfance à Paris et à la campagne jusqu’aux grands bouleversements de la vie, les auteurs nous plongent dans une mémoire partagée. On y découvre l’humilité d’un couple, la tendresse d’un regard porté sur les années passées, et la volonté de transmettre à leurs descendants un héritage de valeurs, de souvenirs et de récits.
Ce livre est une pause dans le tourbillon du quotidien, un moment pour « écouter sa vie ». Il s’adresse à tous ceux qui croient en la force du lien, à ceux qui veulent se souvenir, et à ceux qui, peut-être, trouveront dans ce témoignage un écho à leur propre histoire.«
Une vie d’antan est le témoignage vibrant de l’autrice, née en 1926, qui livre ici le récit de toute une vie. À l’origine de ce projet, une simple demande de sa petite-nièce : « Le plus bel héritage serait un livre de ta vie. » C’est ainsi qu’est née cette chronique, émouvante, destinée à ses proches et aux générations futures.
Dans un style sincère et chaleureux, l’autrice nous plonge dans le quotidien d’un monde disparu, où la famille, le travail de la terre et la solidarité étaient les piliers d’une existence simple mais riche de sens.
Au fil des pages, on découvre une enfance en Savoie, rythmée par les saisons, les rigueurs de l’Occupation italienne, et l’émancipation. C’est aussi une histoire d’amour, et de courage, face au veuvage, et aux responsabilités qu’elle a portées seule, en femme forte et résolue.
Ce livre est une passerelle entre les générations, un trésor de mémoire transmis avec tendresse, qui rend hommage à une époque, à une région, et à une femme hors du commun.
« Nos grands-parents ont payé cher leur attachement à la liberté. »
Ce livre retrace, à travers l’histoire bouleversante de Valentina et Justo, le destin de milliers d’exilés espagnols, pris dans la tourmente de la Guerre Civile. En 1936, Justo, arrêté sans motif, est fusillé… mais miraculeusement, il survit. Son retour d’entre les morts bouleverse Valentina, qui le rejoint à Barcelone avec leur fille Conchita.
S’en suit une longue errance entre espoir et précarité : l’exil en France, les camps insalubres d’Argelès pour Justo, les longs trajets en train pour Valentina et leur fille.
Ce récit familial est une mémoire vivante de la guerre et de l’exil. Il évoque l’anéantissement des rêves démocratiques espagnols, mais aussi la force de l’amour et de la solidarité.
À travers les souvenirs de ceux qui ont tout perdu sauf leur dignité, l’autrice réaffirme une évidence : sans mémoire, pas d’avenir. Ce témoignage vibrant rappelle combien les combats du passé résonnent encore aujourd’hui.
Dans ce récit, l’autrice retrace avec émotion et humour l’épopée familiale d’une lignée de femmes courageuses, venues d’Espagne pour s’installer en Algérie au début du XXe siècle.
De sa grand-mère Rosa, matriarche venue d’Alicante avec ses quinze enfants, à sa mère Amparo et sa tante Remedios, Jacqueline dresse le portrait de figures féminines marquantes, unies par la solidarité, le caractère et l’amour du foyer.
Dans ce récit, elle raconte aussi son propre parcours, entre Alger et Marseille, entre les joies de l’enfance, les drames familiaux – la perte de son père et de ses frères – et la découverte d’une liberté toute personnelle dans le travail, l’amour et la maternité.
Ce témoignage intime devient un hommage vibrant à ces femmes « de tempérament », qui, malgré les épreuves, n’ont jamais cessé de transmettre leurs valeurs de courage, de dévouement et d’humour. Une saga familiale aussi singulière qu’universelle, à lire comme un roman… mais bien réel.
« Une page va se tourner, celle de ma vie professionnelle. »
C’est par ces mots que l’autrice, assistante dentaire de 67 ans, amorce un nouveau chapitre de son existence : la retraite. Mais avant de refermer ce parcours, elle choisit de faire un arrêt sur image, de transmettre son vécu. “C’est mon histoire” est bien plus qu’un simple témoignage.
C’est le récit sincère d’une femme née dans un Portugal rural, sous la dictature de Salazar, qui découvre la France en 1968, année de bouleversements. De son enfance modeste jusqu’à son intégration en Savoie, l’autrice traverse les époques, les frontières et les métamorphoses sociales, tout en restant fidèle à ses racines.
Avec tendresse et lucidité, elle raconte ses joies, ses blessures, son rôle de mère et désormais de grand-mère. Ce livre, elle l’offre à ses descendants, mais aussi à tous ceux qui reconnaîtront dans ce parcours un écho à leur propre histoire. Une mémoire familiale et humaine à préserver, entre deux générations et deux cultures.
Histoires intimes et douloureuses – Le courage de se dévoiler
Les récits sont marqués par l’épreuve. Deuils, violences, séparations… mais aussi résilience, lucidité, et lumière retrouvée.
Ici, la biographie devient un geste de réparation, de mise à distance, parfois même de renaissance.
Chaque témoignage est un chemin, souvent rude, toujours digne.
« La perte d’un enfant est une épreuve atroce. Cet événement tragique, contraire à l’ordre naturel des choses… »
« Ce livre est le cri du cœur de l’autrice, une femme qui a vécu l’enfer derrière les portes closes d’un foyer… »
« Que celui qui ne s’est jamais posé la question au moins une fois au cours de son existence se fasse connaître… »
« Du jour au lendemain, elle a basculé dans un monde inconnu : celui de la procréation médicalement assistée… »
« La perte d’un enfant est une épreuve atroce. Cet événement tragique, contraire à l’ordre naturel des choses, a bouleversé mon existence. »
C’est par ces mots déchirants que débute le récit, une mère anéantie par la disparition soudaine de sa fille Anne. Dans « Anne, ma fille », elle retrace avec tendresse et douleur la vie de cette jeune femme pétillante, enseignante passionnée, épouse aimante et mère dévouée. Fluette, sportive, sans aucun antécédent médical, Anne s’effondre un soir d’automne, victime d’un arrêt cardiaque inexpliqué. Sa mort laisse un vide béant et une famille dévastée.
Au fil des pages, l’autrice évoque les souvenirs lumineux de l’enfance d’Anne, ses combats, ses joies, ses réussites… et la douleur infinie de l’absence. Ce livre est bien plus qu’un hommage : c’est un cri d’amour, un témoignage bouleversant de résilience, de chagrin et de mémoire. Un appel à ne jamais oublier ceux qui nous ont tant donné, et une tentative courageuse de continuer à vivre, malgré tout.
Ce livre est le cri du cœur de l’autrice, une femme qui a vécu l’enfer derrière les portes closes d’un foyer. Dans L’Emprise, elle raconte sans détour son parcours bouleversant, depuis la passion amoureuse jusqu’au piège d’une relation toxique.
Victime de violences physiques et psychologiques, elle livre un témoignage cru, mais indispensable, sur l’engrenage de l’emprise conjugale. Le récit suit les étapes de la spirale infernale : la rencontre pleine de promesses, les premiers signes de contrôle, l’isolement, puis les coups.
À travers une écriture sensible et courageuse, l’autrice évoque les excuses, les cycles de «lune de miel», les promesses de changement… avant les rechutes. Elle montre comment la peur, la honte et la culpabilité enferment les victimes dans le silence, mais aussi comment la force d’une amie et un sursaut d’estime de soi peuvent amorcer la fuite et la reconstruction. Ce livre n’est pas seulement un témoignage : c’est un appel à la prise de conscience.
« Je n’ai manqué de rien, pourtant j’ai manqué de tout”.
Ce paradoxe ouvre le témoignage bouleversant de l’auteur, né dans une famille ouvrière. Dans “À la découverte de soi”, il retrace son parcours intime, marqué par les silences, les non-dits et l’absence de repères affectifs, malgré une présence matérielle.
Avec une sincérité désarmante, l’auteur revient sur une enfance marquée par la maladie de son père, un éloignement brutal du foyer, une éducation stricte et une quête permanente de reconnaissance. Très tôt confronté aux responsabilités, il jongle entre études, travail manuel et passion sportive.
Son récit explore aussi la construction de soi, entre attentes familiales, pression sociale et besoin viscéral de liberté. À travers ses expériences, l’auteur nous livre une réflexion profonde sur l’identité. Ce livre n’est pas qu’un simple retour sur le passé : c’est une main tendue à ceux qui, comme lui, cherchent à se comprendre et à se libérer du poids des origines.
“Que celui qui ne s’est jamais posé la question au moins une fois au cours de son existence se fasse connaître.”
Cette question hante l’être humain depuis que celui-ci a pris conscience de lui-même. L’autrice nous livre ici une histoire bouleversante, marquée par l’exil et une quête d’identité douloureuse. Née en Algérie, ignorée par ses parents, elle subit très jeune une blessure physique grave, aggravée par les croyances et traitements archaïques.
Envoyée en France sous l’identité d’une cousine décédée, elle doit se taire, grandir sans repères, et survivre dans une famille d’accueil qui ne l’accueille pas vraiment. Ballottée entre maltraitance, misère affective et violences conjugales, elle s’accroche à la vie pour élever ses enfants.
Jusqu’au jour où l’administration française découvre le pot aux roses. S’ensuit un véritable cauchemar juridique. Ce récit nous rappelle qu’une identité ne tient pas à un papier, mais à une existence marquée par la résilience, l’amour et la dignité.
Du jour au lendemain, elle a basculé dans un monde inconnu : celui de la procréation médicalement assistée. Oublié le schéma classique «mariage-maison-bébé» ; place à l’incertitude, aux piqûres, aux examens, à l’attente. Dans 1+1 = PMA, l’autrice partage son parcours, ses doutes, ses espoirs, et surtout ce que l’on ne dit pas assez : la solitude, la force qu’il faut pour continuer, et le manque criant de sensibilisation sur un sujet qui touche pourtant de plus en plus de personnes.
Ce livre est né d’un besoin urgent de parler, de briser le silence et d’unir les voix de celles et ceux qui vivent cette réalité. Il est aussi un hommage à la communauté solidaire née sur les réseaux sociaux, espace de réconfort et de sororité.
À travers ce témoignage sincère, drôle parfois, poignant souvent, elle tend la main à toutes celles et ceux qui se battent pour donner la vie. Un récit lumineux pour comprendre, informer, et surtout ne plus se sentir seul.e face à la PMA.
« On me surnomme Roussette à cause de mes cheveux roux et de mes taches de rousseur. »
Ce récit poignant retrace le parcours d’une petite fille née en 1965, dernière d’une fratrie de trois, rejetée, maltraitée. Née dans une famille où l’amour était un luxe absent, elle grandit dans la violence physique et psychologique. À 11 ans, mise à la porte par sa propre mère, elle découvre la rue, les foyers, la peur et l’abandon. Et pourtant… À force de ténacité, elle apprend à se relever.
De l’exclusion à la résilience, elle trace son chemin, seule mais déterminée. Mère courage, elle élève ses enfants avec un instinct protecteur féroce, s’impose contre les injustices et les préjugés. Ce témoignage n’est pas une plainte, c’est une main tendue à tous ceux qui pensent ne jamais pouvoir s’en sortir.
Une preuve qu’on peut renaître après avoir tout perdu, qu’il est possible de réparer sa vie, même quand tout semble brisé. Roussette nous livre ici une leçon de courage brut, d’espoir acharné et d’humanité.
Parcours multi-culturels – la force des racines
Ces histoires disent le départ, l’exil, l’adaptation, l’arrachement parfois. Mais aussi l’espoir, la fierté, la volonté de transmettre.
Elles racontent des identités doubles, des souvenirs d’ailleurs, et cette force tranquille de ceux qui ont dû tout réinventer sans rien oublier.
« Née en 1959 au cœur d’Alger, l’autrice grandit au sein d’une fratrie nombreuse et soudée. Très tôt, elle se distingue par sa volonté… »
« Dans ce livre original, l’autrice livre bien plus qu’un simple témoignage : elle offre un miroir à celles et ceux… »
« Moussa, né en 1942, au nord du Sénégal, grandit dans un village modeste entre rituels musulmans et travaux agricoles… »
« L’auteur, né à Lomé, a d’abord suivi une formation de cuisinier avant d’exercer à l’Ambassade de France au Ghana…. »
Née en 1959 au cœur d’Alger, l’autrice grandit au sein d’une fratrie nombreuse et soudée. Très tôt, elle se distingue par sa volonté farouche de dépasser les obstacles de la vie. Malgré un handicap de naissance, elle embrasse avec passion le métier de sage-femme, qu’elle considère comme le plus beau métier du monde. Dans Sous le ciel de mon destin, elle retrace un parcours de femme engagée, de mère courage et de professionnelle dévouée.
Marquée par les joies simples de l’enfance, mais aussi par les douleurs de la guerre et les traumatismes du terrorisme, elle fait preuve d’une résilience remarquable. À travers ce témoignage sensible, elle rend hommage à ses racines, à sa famille, et à toutes les femmes qui luttent dans l’ombre.
De l’Algérie des années noires à son arrivée en France, ce récit intime est une leçon de vie, un souffle d’espoir et un cri du cœur adressé aux générations futures. Elle y partage ses douleurs, mais surtout son humanité et sa détermination à toujours se relever.
Dans ce livre original, l’autrice livre bien plus qu’un simple témoignage : elle offre un miroir à celles et ceux qui, comme elle, traversent les tempêtes de la vie avec foi et courage. Ce livre, véritable journal de bord, retrace son parcours de femme déterminée, audacieuse et résolument positive.
Jucia y partage ses ressources intérieures — confiance, ambition mesurée, persévérance — qui l’aident à affronter les défis du quotidien. À travers ses mots, elle rappelle que chacun porte en soi une histoire qui mérite d’être entendue. Car dans chaque parcours individuel se cache une vérité universelle.
Loin du fatalisme, elle insiste sur un principe essentiel : aucune peine n’est éternelle. Son récit invite à se relever, à transformer la douleur en force, et à embrasser la vie avec espoir.
C’est un hommage à la résilience, à la capacité de renaître, de croire encore en soi, même lorsque tout vacille. Un texte vibrant, lumineux, et profondément humain. A lire absolument.
À travers ce livre émouvant, l’auteur nous livre le récit profondément humain d’un homme forgé par les épreuves, inspiré par la foi, et porté par l’amour des siens. Né en Guadeloupe, il grandit entre plage et cocotiers, marqué par le divorce de ses parents et les sacrifices d’une grand-mère exemplaire. Loin de sombrer, il transforme ces douleurs en force.
Enseignant engagé, père attentif et sportif accompli, il construit son parcours autour de valeurs solides : respect, rigueur, solidarité. Sa vie est une ode à la résilience, ponctuée de moments-clés comme l’éruption de la Soufrière, la révélation spirituelle à l’église du Raincy, ou son engagement dans l’athlétisme jusqu’au record du 400m à plus de 60 ans.
Chaque chapitre de sa vie est un témoignage vibrant sur la transmission des valeurs, la fierté de ses racines et l’impact durable d’une vie consacrée aux autres. Une autobiographie sincère et inspirante, qui révèle une main invisible : celle de l’amour, du courage et de la foi.
Moussa, né en 1942, au nord du Sénégal, grandit dans un village modeste entre rituels musulmans et travaux agricoles. Éduqué à l’école coranique, il développe très tôt un sens du devoir et de la solidarité familiale.
À 14 ans, il quitte son village pour subvenir aux besoins des siens et découvre l’artisanat du tissage, avant de devenir un commerçant respecté. Par un concours de circonstances et une prophétie inattendue de l’imam, Moussa part pour la France — à la place de son cousin — et entame une odyssée via Varsovie.
En Normandie, il trouve un emploi en usine, gravit les échelons jusqu’à devenir formateur, tout en conservant ses valeurs de travail et d’humilité. Il est épaulé par un couple bienveillant, “Tata Françoise et Tonton Simon”, et fait venir sa famille.
Entre traditions sénégalaises et vie française, Moussa bâtit un pont entre deux mondes. Ce récit, empreint d’espoir et de transmission, pose une question poignante : aujourd’hui, Moussa referait-il le même choix de l’exil ?
L’auteur, né à Lomé, a d’abord suivi une formation de cuisinier avant d’exercer à l’Ambassade de France au Ghana. En 2002, il arrive en France, porteur d’un rêve devenu réalité. Mais très vite, une autre mission s’impose à lui : alerter les jeunes Africains sur les dangers de l’émigration clandestine.
Dans son livre, il lève le voile sur les illusions tenaces d’un Occident idéalisé. À travers des témoignages de migrants, anciens sans-papiers ou exilés revenus de l’enfer, il déconstruit le mythe d’une Europe terre promise.
On y découvre les réalités : désillusions, exploitation, solitude, parfois la mort. Il pointe aussi la responsabilité collective : familles, politiques, tous complices d’un silence pesant. Son récit est un appel à la lucidité et à la responsabilité.
Pourquoi fuir vers l’inconnu quand on peut bâtir chez soi ? Ce témoignage engagé n’est pas un réquisitoire, mais une main tendue, une invitation à agir, à espérer. Car l’avenir peut aussi se construire là où l’on est né.
Dans ce récit poignant, l’autrice nous entraîne au cœur de ses vingt premières années passées à Madagascar, entre pauvreté extrême, traditions oppressantes et rêves d’évasion. Née dans un village sans eau ni électricité, elle grandit dans une famille marquée par la violence et le poids des coutumes. Dès l’enfance, elle se distingue par son imaginaire musical et son esprit rebelle, traits souvent incompris, voire persécutés.
Contrainte à un mariage arrangé à 15 ans, elle endure l’esclavage domestique, les abus et l’humiliation dans une région isolée. Pourtant, jamais elle ne renonce à sa flamme intérieure. À travers les coups, les épreuves, les prémonitions étranges et les humiliations, une seule chose reste intacte : sa voix. Ce récit de survie devient alors un manifeste de résilience.
De la boue des rizières à The Voice, l’autrice trace une trajectoire fulgurante, guidée par l’espoir de monter un jour sur scène. Et si l’enfance lui a tout pris, la musique pourrait bien tout lui rendre.
Biographies professionnelles – L’aventure d’un parcours
Ici, ce sont des voix de bâtisseurs, de passionnés, de curieux, de travailleurs.
Ces livres retracent des trajectoires professionnelles faites d’engagement, de choix décisifs, de rencontres et parfois de combats.
Car le travail aussi est une aventure humaine, et mérite, lui aussi, d’être raconté.
« Née dans une famille marquée par la pauvreté, la violence et la débrouille, Amanda grandit au cœur d’un chaos familial… »
« Dans ce livre très pédagogique, l’autrice s’adresse à ceux qui rêvent d’entreprendre sans oser se lancer…. »
« Né au Mans dans une famille modeste, Jean-Pierre retrace une vie faite de luttes et de détermination… »
« Dans ce livre original, Emmanuelle qui est monitrice diplômée d’État et formée en psychologie sociale, propose une approche… »
Née dans une famille marquée par la pauvreté, la violence et la débrouille, Amanda grandit au cœur d’un chaos familial où l’école devient son seul refuge. Entre squats, expulsions et traumatismes précoces, elle développe très jeune un esprit de survie. Tandis que ses frères s’égarent dans la délinquance, elle, à seulement cinq ans, vend déjà des objets faits main pour subvenir aux besoins du foyer.
Le déclic survient lorsqu’elle rencontre l’avocat chargé de défendre son père incarcéré. Ce métier, perçu comme salvateur, devient son objectif. Contre vents et marées, malgré un environnement défavorable et des regards souvent accusateurs, Amanda poursuit son rêve d’enfance : devenir avocate.
Son parcours témoigne d’une incroyable résilience et d’une détermination farouche, appuyée par des rencontres clés qui ont jalonné sa route vers la réussite. Ce livre s’adresse à toutes celles et ceux qui ont grandi dans l’adversité, qui doutent de leur avenir ou qui pensent que leur passé les condamne.
Dans ce livre très pédagogique, l’autrice s’adresse à ceux qui rêvent d’entreprendre sans oser se lancer. Trop souvent, la peur des démarches administratives, jugées longues et complexes, freine les envies de liberté. L’autrice, passée par ces mêmes blocages, partage ici une méthode simple et accessible pour prouver que créer son entreprise n’est pas réservé à une élite.
Avec un ton bienveillant et motivant, elle accompagne le lecteur à chaque étape, de l’idée à la concrétisation du projet. À travers des conseils pratiques et des astuces tirées de son expérience, elle lève les doutes et redonne confiance. Ce guide n’est pas qu’un manuel technique : c’est un véritable compagnon de route, conçu pour aider chacun à dépasser ses peurs, structurer sa pensée et passer à l’action.
Loin des discours abstraits, l’autrice offre un chemin vers l’entrepreneuriat, accessible à tous. Un livre inspirant et concret pour transformer ses rêves en succès réel. La réussite frappe à la porte !
Dans cette autobiographie touchante et lucide, l’auteur retrace un parcours de vie profondément humain, jalonné de rencontres marquantes et irrigué par une passion constante pour la chimie.
Né dans une boulangerie, il découvre tôt la valeur du travail et le goût de l’effort. De ses premières expériences dans le fournil familial à ses débuts dans les études scientifiques, il développe un regard curieux et engagé sur le monde.
Le livre explore ses années d’apprentissage, ses amitiés fidèles, ses amours parfois tourmentées, et l’influence décisive de figures inspirantes, qu’elles soient familiales, professionnelles ou sociales.
L’Algérie, la Chine, les défis industriels, l’engagement syndical et l’innovation managériale jalonnent son parcours, tout comme les doutes, les pertes, et les renaissances. C’est un récit de transmission, où la chimie devient métaphore du lien aux autres et du sens que l’on donne à sa trajectoire. Un témoignage sincère sur ce qui construit un homme : les autres.
Né au Mans dans une famille modeste, Jean-Pierre retrace une vie faite de luttes et de détermination. Marqué par un père alcoolique et une enfance tiraillée entre chaos domestique et tendresse grand-parentale, il forge dès l’enfance une volonté farouche de s’élever.
Autodidacte, il gravit un à un les échelons du monde professionnel, passant d’ouvrier à directeur d’usine, sans jamais bénéficier de diplômes prestigieux, mais en capitalisant sur le travail, la rigueur et l’envie de réussir. Sa trajectoire est aussi celle d’un homme en quête de reconnaissance, parfois au prix de sa vie familiale.
Divorces, éloignement des enfants et solitude ponctuent une ascension professionnelle exemplaire mais exigeante.
En filigrane, ce témoignage est une adresse à ses petits-enfants : comprendre, sans juger, les sacrifices d’une réussite construite à la force du poignet. Un récit sincère, porté par une lucidité touchante et un regard sans fard sur les défis d’un autodidacte devenu cadre dirigeant.
Dans ce livre original, Emmanuelle qui est monitrice diplômée d’État et formée en psychologie sociale, propose une approche novatrice de la relation cavalier-cheval.
En s’appuyant sur son expérience familiale et professionnelle, elle remet en question les méthodes classiques souvent centrées sur la domination. Elle défend une équitation fondée sur l’écoute, le respect, la communication corporelle pour explorer la dimension émotionnelle et relationnelle du lien avec le cheval.
À travers des outils concrets et des observations fines, elle montre comment instaurer une vraie connexion avec le cheval, pour des séances plus harmonieuses et enrichissantes.
Ce livre très documenté, s’adresse autant aux professionnels qu’aux passionnés et à tous ceux qui souhaitent aller au-delà de la technique équestre désireux de mieux comprendre leur monture et de rétablir un lien authentique. Une lecture qui replace l’humain et l’animal au cœur d’un dialogue sensible et intelligent.
Dans ce livre émouvant, Roger âgé de 84 ans, nous ouvre les portes de sa mémoire comme on ouvre celles d’un grenier rempli de trésors : souvenirs d’enfance à la ferme, scènes de guerre, anecdotes de village, et tendres moments en famille. Né en 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, il grandit entre les cicatrices de l’Histoire et les valeurs simples d’un monde rural en mutation.
Fils de prisonnier de guerre, ancien boulanger devenu soldat en Algérie, facteur de campagne et grand-père comblé, il raconte avec une désarmante sincérité les petits et grands épisodes de sa vie. Le style est oral, coloré, ponctué d’humour et d’émotion, comme une conversation au coin du feu.
Ce récit, offert par ses enfants comme un cadeau d’anniversaire, devient une ode au passé, un hommage vibrant à la famille, à la résilience, et aux bonheurs modestes. Un témoignage tendre et authentique, riche d’enseignements et de sourires à partager.
“C’est comme ça, la vie. Je n’ai rien oublié de là où je viens.”